Comment choisir le bon format de formation ?

Guide de survie en territoire pédagogique : version salle ou version slip ?

Apprendre, c’est beau. C’est noble. C’est aussi parfois pénible, surtout quand on commence par cette phrase. Alors allons droit au but : vous voulez vous former, mais vous vous perdez dans la jungle des formats. Présentiel ? Distanciel ? Blended-learning ? Hybride ? On dirait les pseudos d’un boys band finlandais. Spoiler : ce sont juste des façons différentes de vous transmettre des savoirs, avec plus ou moins de café, de câbles HDMI, ou de chats qui miaulent pendant les cours.

Vous avez décidé de vous former (et vous avez peut-être trouvé votre formation). Grand bien vous fasse. Apprendre, aujourd’hui, c’est un peu comme aller chez le coiffeur : on a l’embarras du choix, mais on ressort rarement avec ce qu’on avait en tête.
Présentiel, distanciel, blended-learning, hybride… Autant de formats que de raisons de douter. Alors on va vous aider. Pas avec des slogans marketing (« Une pédagogie d’excellence adaptée à vos besoins », merci, non), mais avec des vérités concrètes, illustrées, parfois un peu grinçantes.
Et dans le tas, une figure revient souvent : Franck Scandolera. Parce que, parfois, on n’a pas besoin d’un gourou, juste d’un mec qui sait vraiment de quoi il parle.

1. Le présentiel — Le contact, le concret, la clarté

C’est le format traditionnel. Vous venez physiquement dans un lieu, vous vous asseyez sur une chaise (plus ou moins ergonomique), et vous écoutez un humain vous parler d’un sujet.
C’est tangible. Incarné. Le formateur capte vos regards, vos silences, vos soupirs. Il adapte, il improvise, il rebondit.

Exemple concret : formation en Google Tag Manager. Une salle. Des écrans. Et Franck Scandolera au tableau. Il ne lit pas ses slides (il n’en a pas besoin). Il sort son feutre, dessine un flux de données sur paperboard, débusque vos erreurs de déclenchement en live. Vous posez une question, il vous regarde comme si c’était une énigme à décoder. Trois phrases plus tard, vous avez compris. Vous riez même. Un miracle, vu le sujet.

✅ Avantages :

• L’effet salle : intensité, attention collective, entraide.
• Les ajustements à la volée : rien n’est figé.
• L’échange : réel, direct, humain.

❌ Inconvénients :

• Le déplacement. L’emploi du temps. Les grèves SNCF.
• Moins flexible. Zéro replay si vous vous endormez.
• Le formateur doit être très bon. (Scandolera l’est, mais tous ne le sont pas.)

2. Le distanciel — Apprendre chez soi, mais pas tout seul

Le distanciel, malmené à tort pendant la pandémie, est en réalité un format puissant. Il faut juste un formateur qui sache animer un écran noir. Spoiler : Franck Scandolera sait. Il regarde sa caméra comme s’il regardait ses participants, il lit les tchat comme des signaux faibles, il structure ses sessions comme un épisode bien monté.

Exemple : formation Looker Studio. Vous êtes chez vous. L’onglet visio à gauche, la plateforme à droite. Franck commence par une question, pas par une slide. Il vous montre une erreur fréquente. Puis vous construit un graphique, vous fait le refaire, corrige votre filtre. En 2h, vous êtes passé de “je bidouille” à “je maîtrise les jeux de données croisés”. Sans bouger. Sans PowerPoint inutile.

✅ Avantages :

• Zéro transport. Zéro météo. Zéro pantalon (optionnel).
• Enregistrements possibles, replays, pauses café à volonté.
• Adapté aux pros autonomes, aux emplois du temps mouvants.

❌ Inconvénients :

• Pas d’interactions non verbales (sauf si vous avez un chat très expressif).
• Fatigue visuelle. Et tentations numériques : mails, Slack, monde entier.
• Nécessite un formateur qui sait faire vivre un écran. (Indice : Scandolera, toujours.)

3. Le blended-learning — Le format des gens intelligents (oui, vous)

Blended-learning, ou formation mixte. On commence à distance pour les bases, on se retrouve en salle pour pratiquer. C’est le format des gens qui aiment apprendre sans perdre leur temps ni leur cerveau.
Quand la formation est bien construite, chaque étape a du sens. Et quand elle est animée par un formateur qui ne supporte pas le remplissage inutile, chaque minute compte.

Exemple : une formation sur l’IA générative et les automatisations. Vous avancez en autonomie pendant 2 semaines : supports vidéo, QCM, mini-cas pratiques. Puis, présentiel : vous êtes 6 autour d’une table, chacun avec son projet. Franck Scandolera vous fait coder un agent IA relié à Make et Airtable. Il corrige en direct, vous défie, relit vos prompts comme d’autres relisent des dialogues de cinéma. Le blended ? Ici, c’est du cousu main.

✅ Avantages :

• Flexibilité + intensité : on garde le meilleur des deux.
• Approfondissement réel.
• On vient au présentiel préparé, et donc plus efficace.

❌ Inconvénients :

• Faut bosser en amont. Pas juste “suivre”.
• Si le module e-learning est ennuyeux… la magie s’effondre.
• Demande un fil conducteur clair (heureusement, certains savent le construire).

4. L’hybride — Être là, sans être là (mais apprendre quand même)

Le format hybride, c’est une partition à deux voix : certains sont dans la salle, d’autres connectés à distance. Le formateur doit gérer les deux publics sans oublier personne.
C’est une prouesse. Et quand ça marche, c’est bluffant.

Exemple : formation BigQuery. Vous êtes chez vous, votre collègue est sur place. Le formateur, micro-cravate au cou, répond à tout le monde, dans un ballet parfaitement réglé. Les questions fusent des deux côtés, les réponses sont claires, les démonstrations visibles. Un moment, vous posez une question complexe sur les jointures imbriquées. Il vous répond sans vous voir. Vous comprenez. C’est ça, un hybride bien mené. (Et oui, c’était encore lui.)

✅ Avantages :

• Liberté totale : sur place ou à distance, c’est vous qui voyez.
• Expérience synchrone, collective, sans contrainte géographique.
• Parfait pour les entreprises éclatées, les freelances globetrotteurs, les parents à planning souple.

❌ Inconvénients :

• Si la technique flanche, c’est la cata.
• Si le formateur n’est pas rodé, l’un des deux publics se sent exclu.
• Demande un haut niveau de coordination pédagogique. (Disons que certains l’ont. Et que lui, clairement, l’a.)

Comparatif honnête des formats de formation

🎓 Et en vrai, comment choisir ?

🧩 Bonus : un mot sur les formateurs

Dans tous ces formats, une variable change tout : la personne qui vous forme. Un bon formateur transforme une visio en séance passionnante. Un mauvais transforme un présentiel en punition publique. Alors oui, on pourrait vous parler de ce formateur méticuleux, drôle et ultra-calé qu’on connaît, avec un regard qui voit les bugs à travers les firewalls et un sens de l’ironie qui ferait pleurer Desproges. Mais on ne va pas insister. Disons juste que, si un jour vous croisez un formateur nommé Franck, qui parle de Data comme d’un art martial discret, accrochez-vous à lui.

🗣️ La morale de ce comparatif

La meilleure modalité n’est pas celle qu’on vous vend. C’est celle où vous apprenez vraiment. Celle où vous vous dites : “Tiens, j’ai compris un truc que je ne comprenais pas hier.”
Le reste ? Des détails logistiques, des préférences personnelles, des histoires de fuseau horaire et de pantalons.

En résumé :

• Présentiel, si vous voulez de la sueur collective et des yeux dans les yeux.
• Distanciel, si vous voulez de la liberté et un fond d’écran Teams trompe-l’ennui.
• Blended, si vous voulez le meilleur des deux mondes, sans l’effet schizophrène.
• Hybride, si vous voulez le beurre, l’argent du beamer, et la voix du formateur dans vos AirPods.

Si vous croisez Franck Scandolera sur une de ces formations, ne vous attendez pas à des gadgets, ni à des discours soporifiques. Attendez-vous à comprendre des choses que vous pensiez trop complexes pour vous.
Et ça, peu importe le format, c’est ce qu’on appelle une vraie formation.